On ne peut pas divorcer de ses enfants…

 

Avec son époux ou épouse, c'est en principe à la vie à la mort... mais on sait qu'il y a une issue de secours.  

 

PAS d'issue avec les enfants.

 

Ne vous méprenez pas : 

J'adoOore mes filles. 

 

Et j'arbore et exhibe fièrement leurs œuvres, même au travail. 

 

 

MAIS... 

c'est fatiguant ces petites choses. 

Usant, 

épuisant, parfois. 

 

Et parfois on se dit qu'on serait plus tranquille sans (qu'on me jette la première pierre).

 

Et c'est alors le grand test de la promesse qu'on leur a faite de les aimer pour toujours, du mieux que l'on puisse. 

 

Et je crois qu'une des meilleures manières de faire, dans cette situation, c'est d'appeler à l'aide. 

 

Pour regagner une distance qui fait du bien. 

 

Moi par exemple, j'ai pas réussi à être à l'heure devant l'école. 🚪

 

J'ai du voir avec le maître de ma grande. 

Et j'en ai profité pour lui demander conseil. 

 

 

Je vous les livre, peut-être que pour vous aussi, ils seront utiles : 

 

1. fin de l'année -> sentiment de pleine puissance pour les grands d'un établissement. Ils ne se sentent plus. Et déchantent un peu en revenant à la maison. C'est dur. 

 

2. fin de l'année -> journées qui rallongent -> difficultés de sommeil -> fatigue 

 

3. fin de l'année -> + de projets (fête des mères, des pères, de l'école, visite du prochain établissement, visite de l'infirmière, en plus pour la classe de ma fille, tests pour voir s'ils peuvent continuer en section internationale l'année prochaine) -> fatigue 

 

4. contexte actuel qu'ils sentent -> pluie, pluie, pluie, pluie, pluie -> ca pèse sur le moral, sur le corps et l'esprit qui n'évacuent pas autant..., 

annulation de la kermesse pour Vigipirate chez nous -> insécurité 

et ils sentent probablement beaucoup d'autres choses même si on ne leur en parle pas..

 

5. Et nous aussi, on vit plein de choses, même parfois petites, qui nous sensibilisent, fragilisent. 

 

 

Conclusion : 

Leur offrir beaucoup de possibilités de calme, de repos/sommeil, de connexion simple

peu de paroles quand ils sont épuisés. Des ordres simples, sans trop d'explications à ce moment-là. 

anticiper pour + de fluidité 

et savoir que ça va passer, et que ça ne dit pas forcément quelque chose de profond sur notre relation à notre enfant, notre capacité d'aimer, d'être un bon parent etc.

 

 

Voilà. 

 

Beaucoup de mes client-es vivent ça, par moments +/- rapprochés. 

 

Courage. Vous n'êtes pas seul-es. 

 

Et encore + de courage et de soutien à vous parents solos !!! 

 

Et quand on rajoute les différences culturelles entre les parents : SOUTIEN ! 🙏🙏🙏

 

 

 

C'est essentiel pour moi d'accueillir les difficultés dans la relation parent-enfant de mes client-es. 

 

Je sais à quel point c'est important, difficile parfois, et utile d'avoir de l'aide. 

 

Et pour ça, rien de mieux qu'un coach parental dévoué pour vous aider, et qui connait ça. 

 

N'est-ce pas Hilkka Domzig ? 💖