Mon parcours

 

J'ai grandi à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, où j'ai vécu jusqu'à mes 16 ans. Un bac S en poche mais sans savoir vraiment qu'en faire, je suis allée habiter un an à Cambridge, au Royaume-Uni, pour apprendre à (vraiment) parler anglais.

 

De retour en France, j'ai entamé des études de biologie pour peut-être devenir vétérinaire. Cette année était celle des grèves contre le CPE/CNE, et je n'ai pas passé beaucoup de temps à la faculté...

 

Mais par contre, j'en ai passé beaucoup à organiser la vie d'une unité scoute (EEUdF), et des camps d'été. 

C'est alors qu'une éclaireuse, confrontée au divorce de ses parents, me demandait comment ça se passait, que j'ai réalisé qu'il m'était insupportable de ne pas être capable de lui répondre. 

 

J'ai donc commencé des études de droit, à l'Université de Paris X (Nanterre).

 

Après ma licence, j'ai fait un semestre d'études Erasmus à Bergen, en Norvège, et ai obtenu un Master 1 en Droit Privé et Sciences Criminelles.

 

Comme les Droits de l'Homme me passionnaient, j'ai réalisé un Master 2 en Droit International et Européen des Droits de l'Homme à Lille, à la Faculté Libre de Droit.

En participant à un concours international de plaidoirie (que nous avons accessoirement gagné), j'ai réalisé que je voulais devenir avocate.

 

Après un dernier détour géographique à Berlin, en Allemagne pour un LL.M. en droit allemand et européen, j'étais enfin décidée sur un point : je serais avocate en franco-allemand, à Strasbourg. 

 

J'ai donc intégré l'Ecole Régionale des Avocats du Grand Est à Strasbourg. Le cours de "Familienrecht und Mediation" m'avait éveillée à l'intérêt de recourir à la médiation pour résoudre les litiges familiaux, et j'ai donc suivi un long enseignement à la médiation à Fribourg sur Brisgau, en Allemagne alors que je "terminais encore mon droit".

 

Titulaire du Certificat d'Aptitude à la Profession d'Avocat et du certificat de Médiateure, j'ai fondé mon cabinet individuel à Strasbourg, où j'exerce depuis comme avocate et médiateure indépendante, en particulier pour résoudre les problématiques familiales franco-allemandes.

Enfin, confrontée à un parent me demandant la validation juridique d'une séparation prolongée des enfants avec l'autre parent, j'ai réalisé qu'il m'était insupportable que mes compétences soient utilisées comme arme contre l'autre.

 

Depuis lors, mon Motto est très clair : je mets mes compétences d'avocate amiable, c'est-à-dire mes compétences en droit international de la famille et de communication, uniquement au service de mes clients voulant la paix familiale, pour permettre à tous les membres de cette famille de créer ensemble une solution de paix, permettant à chacun de se réaliser pleinement ensuite.